[ad_1]
Nous avons toujours posé des questions sur qui nous sommes et comment nous pensons.
Qu’est-ce qui définit notre identité, notre conscience de nous-mêmes et des autres? Nous avons essayé d’explorer et d’expérimenter les limites dynamiques de cette compréhension en modifiant nos états de cognition par des moyens qui vont du joli abstrait, comme la méditation, au très concret, en supposant des substances comme l’alcool ou les psychédéliques. Afin de voir ce qui se passe et de mieux comprendre comment notre esprit et notre corps réagissent au monde et réagissent à nos propres états internes, cet ensemble réverbérant de comportements et d’expériences, cette tentative fractale d’explorer ce qui est possible, dure depuis des milliers d’années.
Avec l’organisation de nos sociétés, l’ensemble des règles et réglementations qui influencent ou définissent ce qui peut ou ne peut pas être fait, doivent évidemment aussi prendre en compte cette expérience en cours. L’hypocrisie et la contradiction des gouvernements qui réglementent et autorisent les drogues dangereuses comme le tabac et l’alcool qui causent la dépendance, des millions de morts dans le monde par rapport à l’interdiction d’autres substances comme le cannabis ou le 5-MeO-DMT sont perverses.
Alors, quelles sont les limites de notre quête de liberté cognitive? Notre capacité à poursuivre ces expériences d’introspection et de compréhension de la conscience de soi et de la conscience des autres va-t-elle augmenter ou diminuer? J’espère vraiment qu’à l’avenir nous comprendrons que de manière responsable et consciente de nous-mêmes ces expériences devraient se poursuivre, que nos degrés de liberté autour d’elles devraient augmenter. Et que, que ce soit avec des moyens chimiques ou autres, comprendre qui nous sommes a été et sera une quête véritablement humaine.
En rapport
Italiano (italien)