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Il a été un pionnier et une grande inspiration pour ce que la statistique publique vise toujours: plus de visibilité, plus de compréhension et plus de résonance. Il y a deux ans, Hans Rosling (27 juillet 1948 – 7 février 2017) est mort trop jeune.

Une rencontre avec Hans Rosling est exigeante et enrichissante. Sa demande de statistiques publiques était urgente et une condition préalable à son travail éclairant: que les données statistiques soient ouvertes à tous. Ici, il a vu des succès. La manière dont il a transmis ces données associées à un message a été et est enrichissante. Avec des présentations innovantes, précises, divertissantes et toujours très personnelles, il a clarifié ce qui s’était passé et quelles évolutions pouvaient être souhaitées. Il était réaliste quant à son efficacité et pourtant toujours optimiste… mieux: un «possibiliste». Ce qui me reste, c’est comment il a appris à voir avec les chiffres – un défi constant pour les statistiques publiques.

«Un petit conseil humble» qu’il a donné à son public à l’issue d’une présentation en 2013:

Full presentation here:  
DON'T PANIC — Hans Rosling showing the facts about population

Ça continue

Gapminder («un fact tank, pas un think tank»), avec ses outils innovants et son engagement, continue de vivre avec Anna Rosling Rönnlund et Ola Rosling.

Et récemment Factfulness, un livre des trois (Hans Rosling, Anna Rosling Rönnlund, Ola Rosling) a été publié avec le sous-titre «Dix raisons pour lesquelles nous nous trompons sur le monde – et pourquoi les choses sont meilleures que vous ne le pensez»

«Factfulness: L’habitude de réduire le stress de ne porter que des opinions pour lesquelles vous avez des faits solides à l’appui. “